L’usure ou la question de la matière première du danseur : son corps.
Le chorégraphe et danseur Brahim Bouchelaghem traite de l’usure dans sa dimension fructueuse et bénéfique, à savoir la mesure, la résistance et la persistance : ce qui reste résiste !
Entre hip-hop et danse contemporaine, les mouvements répétitifs des sept danseurs, portés par une musique électro, évoluent et se renouvellent grâce aux corps qui s’adaptent et continuent de danser. Des décalages perturbent les ensembles et les individualités se détachent pour trouver la force de résister et de repousser les limites, à la frontière de l’épuisement.